samedi 12 mai 2012

Last exit for the lost

La rue est déserte après que le gang mené par le capitaine Boyd soit revenu dans la ville de Vicksburg devenu la proie des mort-vivants. Il tombe d'abord sur Chucko, leur éclaireur indien, puis le sergent Peter Walter, un homme d'intendance. Poursuivi par une troupe importante de mort-vivants, ils trouvent refuge derrière une barricade érigée par le major Freyman et le reste du 2ème régiment d'artillerie. Ensemble, ils repoussent une première vague de soldats morts. Ils comprennent que le major s'est replié vers le port fluvial, emmenant un maximum de civils avec lui, loin des fosses communes d'où sortaient la majorité des cadavres ivres de chair humaine. Ils font la connaissance d'un chirurgien militaire.

L'aube de l'horreur
Ensemble, ils repartent dans la ville, espérant prendre contact avec l'état major, et rameuter un maximum de civils pour qu'ils se réfugient derrière la barricade. Un vol de corbeaux s'égaillent bruyamment dans le ciel, saluant leur départ par des croassements de sinistre augure.
Ils tombent en chemin sur une procession menée par un pasteur hystérique, rameutant des fidèles en clamant que l'Apocalypse est parmi eux, que le Septième Sceau a été rompu, que Jésus est sur le point de revenir pour ramener les croyants à l'abri dans la Nouvelle Jérusalem. Stoppant brutalement le pasteur, le capitaine Boyle enjoint ses fidèles de se réfugier avant d'entraîner sa petite troupe.
Ils découvrent le petite hôpital militaire baignant dans une ambiance de folie. Certains hommes démembrent des cadavres, des médecins agressent des blessés, d'autre errent hagards les yeux en folie. Ils retrouvent les survivants de leur compagnie (Even Savage, Jonathan Home, Marvin Coleman, Bryan Potter) et voient sur ces entrefaites débarquer l'état major au grand complet. Pemberton, prenant connaissance de la bastide crée par le major Freyman, ordonne à son armée de fouiller méthodiquement Vicksburg pour y ramener tous les civils survivants à l'abri.
Le capitaine Boyd se voit attribuer la zone de l'abattoir. Ils y découvrent des gens terrer dans leurs demeures, criant qu'un monstre erre dans les rues. Ils sont alors agressés par une horreur purulente, sorte d'hybride de mulet et d'homme qu'ils abattent avant de mettre le feu aux abattoirs. Ils voient alors des ombres animales en sortir en hurlant avant que le bâtiment ne s'effondre.
Ils se réfugient derrière la barricade alors que la nuit tombe. L'ombre de la Faucheuse semble danser dans le ciel, sinistre augure des événements à venir. Une fièvre mortelle surgit parmi les survivants, obligeant Pemberton à installer une quarantaine. Marvin Coleman se métamorphose en être mi homme mi rat, alors que des hordes de rongeurs sortent du sol et se jettent sur les sudistes, menés par d'autres êtres semblables à ce qu'il est devenu.
Devine qui veut dîner ce soir ?
Pemberton donne l'ordre d'évacuer la ville. On embarque les civils en priorité dans des barges pour descendre le fleuve. Il donne l'ordre à la petite troupe de Boyd de tenir coûte que coûte la barricade, le temps qu'il évacue ce qu'il reste de l'armée du Mississippi et de la population de Vicksburg.
Pendant quatre heures, le gang va repousser des hordes de mort vivants ivres de sang. Potter tombera le premier, emmenant des zombies avec lui dans les flammes. Savage sera jeté à bas de la dernière bastide sur le ponton d'embarcation, dévoré vif devant ses camarades. Alors que l'aube s'annonce, la sirène du dernier steamer annonce l'heure de la retraire pour les survivants. La petite troupe s'égaille sur l'embankement, dans un sauve qui peut désespéré. Home manquera son saut pour monter à bord et sera emporté sous l'eau par une chose indicible. La dernière vision du gang sera une horde de morts amassée sur le quai, hurlant leur faim insatiable alors que l'aube se lève sous un soleil rouge sang...

Cerveauuuuuuu !!!
HERE COME THE RECKONING

10 commentaires:

  1. Bientôt un commentaire d'Otto.
    Mais clairement, il a comme priorité s'inquiéter de sa famille indienne (grand-mère, ruisseau bondissant et blanche (papa, tonton, sa danseuse) et d'aller parler à mère grand pour vérifier une théorie... Est-ce que les indiens sont épargnés par le fléau ? Un secret espoir que les indiens ne se relèvent pas le traverse.

    Désir fort de parler au capitaine pour l'inciter à convaincre les autorités de former des groupes de nettoyage de ces saloperies auxquelles il veut faire la guerre. Ca c'est une guerre juste...

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  2. (Commentaire du lieutenant Mc Killigan)

    Tu parle d'une guerre c'est encore plus une boucherie que contre les yankee....

    Je sais pas quel est le con qui est responsable de cette connerie mais si on le chope il va passé un sale quart d'heure.....

    Ma vue se trouble, j'ai froid, je tremble... Oh non pas de peur mais la fièvre gagne du terrain et puis la fatigue est là, pesante... Du whisky...... une bonne partie de poker voilà qui me redonnerais un peu le moral, je ne dis pas le sourire car après ces évènements je ne vois pas se qui pourrais nous redonner le sourir.

    Si on relativise la situation on est vivant et surtout libre .... mais a quel prix???

    Je trouve ton idée Otto par trop mal pour une fois: les groupes de nettoyage. Mais je pense que se sont nos éclaireurs qui devront faire une partie de se travail.

    Par contre Otto, il y a une chose qu'il faut que tu comprenne ABSOLUMENT: LES ORDRES SONT LES ORDRES et NUL ne doit LES DISCUTER!!!!!! Même si c'était l'inventeur du Colt ou le meilleur joueur de poker du monde qui aurait voulu passé la baricade, les ordres était de tiré à vu, alors le curé c'était sur qu'il y passé !!!! un ordre est un ordre soldat !!!!!!!!!!!!!! Pour ma part je prendrais cette "hésitation" comme une marque d'angoisse et perte de sang froid face à la situation, mais sache que le capitain Boyd ne le verra peu être pas de cette oeil. En tout cas cela sera ma position à ton égard mais fait attention de ne pas trop en profité!

    Pour ce qui est du sgt Walter je pense qu'il a belle et bien eut son baptême du feu et j'espère qu'à l'avenir il sera un peu plus téméraire.

    Comme le dit Otto une nouvelle guerre commence mais la dernière n'est pas achevé du moins je ne crois pas, ces connard de yankee vont essayé de reprendre le dessus et faudra pas les laissé faire....

    Maintenant je pense qu'il faut se reposer trouver des vivre, rejoindre les autres compagnies suddiste et faire le point. Mais je m'en remet à notre bon capitaine qui à su gardé son sang froid pendant cette folle journée......

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  3. "Ltd Anton Mac Dougal (le médecin alias bruno)":

    "Soigner les vivants, je sais faire; mais avec les morts, comment on fait??!!! Quelqu'un peut m'apprendre à recharger?!...",

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  4. Ltd Mc Killigan:

    "Pas de souci lieutenant, je vous apprendrais à recharger une arme et pourquoi pas à vous en servir. Par ailleur si vous pouviez apprendre à certain d'entre nous les premier soin à prodigué en cas de blessure autre que un peu de whisky et un fer bien chaud sa pourrais être tout aussi utile......"

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  5. C'est pas ma faute j'ai glissé, Oups !
    Je dit faut aller voir un sage, y s'avent parler aux esprits et la les esprit qui veulent pas partir des corp mort c'est pas normal ca.
    Bon un orde c'est un ordre sa c'est vrai et un ordre con c'est un ordre con aussi ...
    Mais faut aller voir les sages là oui je connais un chemin tranquile, enfin avant il était tranquil pour aller voir un sage, Oui Ho Ha Oups !!

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  6. McKilligan:

    C'est grâce aux ordres du Général et du Capitaine si des centaines de vies ont été sauvé.....

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  7. Un ordre n'est pas un ordre si on flingue un homme de foi ou des innocents. Entre le chemin de la loyauté aux ordres et des gens en détresse, Otto essaiera toujours de concilier les deux.
    Otto n'est pas dans l'armée parce qu'il doit tuer des innocents, pas plus parce qu'il doit tuer des yankees. Il protège les intérêts de son père (chemin de fer du Sud), la parole qu'il doit à son oncle (aumonier dans l'armée du Sud, et si ça avait été dans le Nord, il aurait été du Nord) et la compagnie à laquelle il appartient. Mais flinguer des gens sans s'assurer que ce sont des morts-vivants, non. Maintenant, peut-être que les morts-vivants n'étaient qu'à Vicksburg. Houf. Ca serait un soulagement.
    Autre chose. Il n'est pas juste, tout capitaine que l'on est de frapper un homme de foi. Là, dans le cas qui a été présent, peut-être pour parer au plus pressé. Mais les hommes de foi sont comme les hommes médecine, des chefs... Des chefs de la vie spirituelle. Qui méritent autant de respect que l'on doit aux chefs de la vie militaire.

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  8. McKilligan:

    "Certes Otto ils doivent être respecté mais un homme de foi qui sombre dans la démence et qui refuse de mettre les gens qui lui font confiance en sécurité et préfére arpenté des rues aussi sûr que de ne pas chopé une chaude pisse dans un bordel yankee, je pense que celui ci ne mérite aucun respect et que la survie des gens qui l'accompagne est plus importante que tout!! On voit se qu'il en a fait de cette confiance que ces fidèles lui porté il les a conduit à une mort certaines.

    Sache que je ne suis pas dans l'armé pour le plaisir de tuer qui que se soit. Je suis dans l'armé pour défendre ma patrie et obéir au ordre tant qu'ils sont de bons sens (je vais pas me tirer une balle juste parce qu'on me l'ordonnne mais si sa peux sauvé des vies je le ferait!!!!)

    Ma loyauté va à ma patrie à mon superieur et à mes hommes que je n'abandonnerais jamais.

    Le choix leur a été donné (au pasteur et à ces fidèles) ils ont choisi en tout état de cause et on préféré la mort, bien leur en face ........

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  9. Pour moi, il n'y a pas d'hommes de loi, pas d'hommes de foi, pas d'indiens, de chinois ou de noirs ; il y a des civils !

    Dans la tempête qui vient de se lever, il n'y a qu'une loi, la mienne... et son prolongement, mon sabre.

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  10. Mc Killigan:

    "Je me reconnait dans vos paroles mon capitaine mais attention tout de même dans vos élans narratif, compté ces shimpanzés parmis les civils faut pas exagéré. Ils sont tout au plus un bons moyen de ralentir l'ennemi lors qu'ils avancent en masses pour soit disant nous bouffé. (Je reste intimement persuadé que la fièvre et la maladie nous à fait faire des choses terrible. Ces animaux pourraient bien en être la cause d'ailleur, tel les chiens qui nous refilent leur puces ..... à méditer.....)"

    Duff:

    Je tiens à rappeler que les propos sont tenu par un personnage de fiction qui compose dans une période lié à la guerre de cessession!!!! N'y voyais nullement des propos lié à des pensées personnelles de ma part.

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