En fouillant dans les papiers familiaux, et en lisant l’espagnol, on apprenait qu’Emilio Saheiro était un conquistador, un armurier originaire de Tolède, qui a participé au siège de Tenochtitlan. L’un des guerriers jaguars qui défendait la muraille était un véritable lion qui maniait un macuahuitl gigantesque de près d’un mètre. Il fut fauché par un boulet de canon. Emilio fut comme attiré par cette lame et la récupéra sur son cadavre.
Il
reforgea l’arme aztèque pour un faire un sabre. Il l’appela Comalma. Son épouse
aztèque aurait tissée un fourreau incrustée d’obsidienne d’une grande beauté.
Les
Saheiro se sont transmis cette lame de générations en générations, et elle ne
s’est jamais altéré. Le fourreau a été dérobé ou perdu avant qu’ils n’arrivent
à la Nouvelle Orléans. Nul ne sait où il est.
Ceux
qui portaient cette lame était connu pour leurs prouesses militaires, mais pas
pour leur humanité. Comalma déteint systématiquement sur son porteur…
Un
macuahuitl (mot nahuatl dérivé de « maitl
», signifiant « main », et « cuahuitl », signifiant « bâton », et qui est à
l'origine de son synonyme espagnol « macana ») est
une arme blanche de mêlée à la fois tranchante
et contondante. Il s'agit d'une sorte d'épée composée d'un bâton plat d'environ 70 cm
de long dont une extrémité est affinée pour servir de manche, et dont les
tranchants sont incrustés de lames d'obsidienne
très coupantes mais fragiles.
Sa va donne du grain à moudre à Otto ça.
RépondreSupprimerAh ah ah ah.
RépondreSupprimerNan, moi j'ai pif et paf. J'aurais bien aimé passer à 4 en pif et paf, mais j'ai donné pour l'âme du capitaine.
Ca ira.
Ca ira. Faut juste surveiller le capitaine. Et du moment que ça ne le fait que tuer des morts-vivants.